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Invitée au Café sans Filtre de Pépites NC, dont le but est de créer du lien entre étudiants ou jeunes diplômés...
[TROISIEME PARTIE] Quand vous êtes dans une relation amoureuse avec quelqu’un qui vous est cher, vous vous sentez...
[DEUXIEME PARTIE] Quand vous êtes dans une relation amoureuse avec quelqu’un qui vous est cher, vous vous sentez...
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[DEUXIEME PARTIE] Quand vous êtes dans une relation amoureuse avec quelqu’un qui vous est cher, vous vous sentez complet. Quand vous n’avez pas cela vous vous sentez incomplet. Pourquoi est-ce ainsi ?
Posez-vous ces questions :
- Ai-je déjà eu l’impression de faire beaucoup trop de sacrifices ?
- Ai-je déjà eu l’impression de devoir mettre de côté une partie de ma vie sociale / familiale / sportive etc pour des compromis mal équilibrés ?
- Ai-je déjà au l’impression que l’amour et la présence de l’autre étaient plus importants que tout le reste ?
- Pendant que je suis / j’étais avec cette personne ai-je changé beaucoup trop de vie pour m’adapter à la relation ?
Si les réponses sont positives, alors vous lisez le bon article.« Je ne peux pas rester seul(e), j’ai besoin de quelqu’un pour me sentir bien. Même si j’aime avoir 'mes moments à moi', la solitude affective et sentimentale me pèse ».
« Je ne suis pas satisfait de ma vie, de mon travail, de ma vie de parent ou autre pan de ma vie, mais je me dis que je ne peux pas trop y faire quoi que ce soit et je me mets dans une relation amoureuse pour me sentir bien »Aucune bonne relation amoureuse ne ressort de ce genre de situations.
Ça finit toujours mal, même si ça se maintient un certain temps. Et souvent ça dure un certain temps car l’un des deux acteurs, voire les deux, se sacrifient à outrance, ne voulant pas voir ce qui n’est pas équilibré et ou trop peu épanouissant, ne voulant pas s’avouer que ça pourrait être bien mieux, ou bien il y a eu tellement des efforts de faits que non ça doit se poursuivre pour avoir une preuve que tous ces efforts valaient le coup.Une étude a montré que le cerveau humain préfère rester dans une situation connue même douloureuse que de changer pour une situation inconnue et meilleure. Le cerveau ne choisit pas en fonction du bon / mois bon / meilleur mais en fonction du connu / inconnu.Ajoutez à cela que l’humain a horreur d’avouer qu’il s’est trompé, et vous avez le combo parfait pour faire durer des relations médiocres et destructrices. Tout en se sentant (à peu près) satisfait.
La relation que l’on a avec les autres dépendent de la relation que l’on a avec soi-même. Pour la plupart d’entre nous, nous n’avons pas appris dans notre enfance les moyens de savoir créer et ressentir ce bien-être avec soi-même. Et une fois adulte on fait comme on peut avec nos moyens et nos limites sans même avoir conscience de tout ceci.Quand on est bien avec soi-même, on a la capacité de rester soi-même sans jamais avoir peur de rester soi-même car on est notre propre priorité. C’est-à-dire que vous allez préférer rester entier quitte à perdre quelqu’un pour trouver mieux plutôt que de vous perdre pour garder une relation.Et c’est quand on n’a plus besoin de quelque chose d’extérieur pour se sentir bien que tout se met en place. Pourquoi ? Parce qu’on n’est plus dans la résistance. Attention au retour de réaction « heu j’attends depuis tellement longtemps qu’il se passe quelque chose alors que tout va bien, je ne comprends pas… » : on pense que « ça va » mais au fond on est toujours dans une attente (d’être aimé par quelqu’un, d’être reconnu etc)
On se met en relation qu’avec des personnes qui ont la même fréquence que nous. On se reconnait car l’on a cette cohérence vibratoire entre nous.
Mais cette cohérence vibratoire peut provenir de blessures et non de bonheur, provenant de peurs et non de joies. Bien souvent on se reconnait l’un à l’autre de par nos besoins que provoquent nos blessures et nos peurs.
Et, inconsciemment, la relation se construit sur les besoins de répondre aux blessures (d’abandon, de rejets) et aux peurs (d’être seul, de ne pas être aimé, de ne pas pouvoir aimer, de se sentir sauvé, de sentir que l’on sauve etc) mutuellement au lieu de répondre mutuellement à des joies et du bonheur.
Oui, comme pour une grande partie d’entre nous. Avez-vous avez grandi avec le ressenti de - Ne pas avoir reçu l’amour dont vous aviez besoin.- Vous êtes senti effacé au sein d’une fratrie, ou moins aimé / préféré.- Que votre père ou votre mère n’était pas présent comme vous en aviez besoin.- L’attente d’un « je t’aime » ou « je suis fier de toi » d’un de vos parents, et encore aujourd’hui « vous feriez tout » pour l’obtenir.- Ne pas avoir pas pu pleinement vous exprimer, vous n’étiez pas libre de faire les activités ou les études que vous vouliez, vous vous êtes senti brimé, peu libre dans votre enfance / adolescence.- Ne pas avoir reçu la confiance de vos parents, de ne pas avoir eu cette autonomie nécessaire pour construire cette estime de vous.Si vous avez le sentiment d’avoir vécu une ou plusieurs de ces situations, cela crée un grand vide affectif enfant qui crée un grand besoin d’aimer et de se sentir aimé.
Vous allez rencontrer une personne qui a très envie de vous aimer et qui a très envie d’aimer : c’est merveilleux, vous allez « tout faire pour que ça marche ». Car on veut absolument garder la preuve que l’on peut être aimé.
Nous sommes donc unis et attirés via nos blessures. La relation est donc une solution à vos manques et problèmes. La relation est alors pour vous un moyen de trouver un bonheur que l’on ne sait pas trouver avec soi-même. L’autre a donc la lourde responsabilité de votre bonheur.Rendez-vous compte de cela : l’autre a la lourde responsabilité de votre bonheur.Iriez-vous imposer cela à votre enfant, à un de vos parents ? Cela ne vous viendrait pas à l’esprit. Pourtant vous le faites avec votre partenaire. C’est pour cela qu’à la moindre situation où vous pourriez sentir un doute sur son investissement à vous rendre heureux, cela vous met dans des crises paniques. Et que pour éviter la panique, pour être certain de ne pas perdre l’attention de l’autre « vous allez tout faire » et vous effacer, répondre d’abord aux besoins de la relation et / ou de l’autre pour ne surtout pas perdre la solution de votre problème d’amour.Si vous n’avez pas guéri les blessures liées à votre passé / enfance, vous allez attirer un partenaire qui lui aussi n’aura pas guéri ses traumas, vous aurez l’impression de fusionner sur le moment mais cela finit en relation toxique avec beaucoup de co-dépendance parce qu’aucun des deux partenaires n’est libre.
Je précise ici que je n'écris qu'un point de vue personnel sur la question des relations, que je ne prétends détenir aucune vérité et j'invite chacun à se faire sa propre opinion sans jugement.
Article écrit en 3 parties
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