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Invitée au Café sans Filtre de Pépites NC, dont le but est de créer du lien entre étudiants ou jeunes diplômés...
[TROISIEME PARTIE] Quand vous êtes dans une relation amoureuse avec quelqu’un qui vous est cher, vous vous sentez...
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[TROISIEME PARTIE] Quand vous êtes dans une relation amoureuse avec quelqu’un qui vous est cher, vous vous sentez complet. Quand vous n’avez pas cela vous vous sentez incomplet. Pourquoi est-ce ainsi ?
Il n’y a pas de liberté puisque la liberté arrive de l’alignement que l’on a avec soi-même. On va faire les choses par manque, par peur, parce qu’on est perdu dans sa tête, dans le contrôle, ou dans l’influence de ce que font / disent les autres…Vous donnez toute votre énergie à la relation, mais ça finit mal. Bien souvent, si on s’écoute vraiment et que l’on regarde vraiment à l’intérieur de soi, on peut accéder à ces ressentis parfois très subtils qui savent que l’on s’aveugle et que l’on part plein élan dans le mur. Mais l’impatience, le manque, la peur vous font dire « oh ca va, j’y vais quand même / ça va le faire / tout façon tout ne peut être parfait / c’est déjà ça à prendre / oh si j’ai envie de me lancer à fond parce qu’en fait dans le reste de ma vie rien ne va vraiment bien » etcQuand on se dit « quand j’aurais ça j’irais mieux ensuite » : on est dans la résistance. On confond alors confort et bien être. Exemple : vouloir avoir + d’argent ne rend pas plus heureux, mais apporte un autre confort. Lisez bien cela : vous ne pouvez pas vous dire « je suis satisfait parce que j’ai quelqu’un dans la vie qui m’aime » car cette situation alimente la peur sous-jacente de perdre l’autre, car on sait au fond de soi que l’on a aucun contrôle sur l‘autre. Aimer devient donc un stress de perdre l’autre. Vous avez cherché la relation pour sécuriser le fait de pouvoir aimer / être aimé mais c’est cette même relation qui vous insécurise par la peur qu’elle crée de la perdre.Pour se sentir épanoui et avoir confiance, il est intéressant de comprendre que, tout ce que fait l’autre, rien n’est par rapport à vous, mais par rapport à lui-même. D’où l’importance de vouloir dans sa vie quelqu’un qui a un bon rapport avec lui-même.Mais faut-il encore prendre le temps de découvrir l’autre car au début les masques peuvent empêcher de le voir surtout si on se précipité en quelques semaines dans la relation. Car une fois celle-ci commencée, il est très difficile d’en sortir.
« Je décide de ne pas faire les choses par rapport à l’autre, mais par rapport à moi. Et si cela ne convient pas à l’autre, il est possible que ce soit à cause de sa peur d’être abandonné, de ne pas être assez bien, de sa recherche de preuve qu’il peut être aimé, ce qui est de la co-dépendance affective qui n’apportera rien de bon au final ».Car, même la personne qui a besoin d’être aimée, peut avoir tellement peur de perdre l’autre ou de souffrir de l’autre qu’elle va choisir elle-même d’être l’origine de la destruction de la relation (en créant des disputes répétitives et infondées, en trompant l’autre etc) pour « contrôler » le malheur.
Dans les relations on pointe du doigt l’autre :
« Mais si t’étais comme ça, la relation fonctionnerait mieux ».
« Mais si tu pouvais juste un tout peu petit changer ton … »
« Non mais moi j’ai déjà fait ce que je devais changer, c’est à lui de changer »Si on a attiré cette personne dans sa vie ce n’est pas pour rien.Ais-je pris le temps de la connaitre ? Je suis tout aussi responsable de cette situation. Je me recentre sur moi, je bouge mon énergie (sans attente) et je vois ensuite ce qu’il se passe. Si je m’aligne et qu’au lieu de vampiriser l’autre de mes attentes et besoins, je rayonne le bien être, j’aurais alors peut-être la possibilité d’inspirer l’autre. L’autre peut alors lui aussi changer. Cela ne veut pas dire que cela va fonctionner. Mais qu’est-ce qui le plus important ? que ça marche et que vous allez mal ou que vous allez bien quelle que soit l’issue ? Si les choses ne se passent pas comme vous le voulez, ce n’est pas grave si entre temps vous vous êtes trouvé. Il est juste temps d’aller vers autre chose de mieux encore. Si vous avez réussi à vous retrouver mais que l’autre ne répond pas à votre évolution, vous ne pouvez pas être mal à l’aise, c’est fini, parce que maintenant le bien-être est là et qu’il est temps de passer à autre chose. Ce processus se fait naturellement et vous vous trouvez dans un bon état d’esprit. Car si vous comprenez que l’autre n’est pas prêt à faire ce même chemin, vous pouvez ressentir de la compassion. Sentez-vous en paix, sans être dans le jugement, dans les « oui mais tu m’as fait ceci » car vous percevez les choses d’une autre manière.
La prise de conscience de soi, l’alignement avec son propre bonheur avec soi-même ne se fait pas en un claquement de doigt.
Mais déjà prendre conscience de ce qui nous lie à l’autre, de ce qui nous manque avec nous même et des conséquences dans les relations peuvent nous faire passer du statut « je subis » au statut « je deviens observateur ».
C’est une première étape dans notre responsabilité à créer notre vie.
On peut être observateur et aller en toute conscience dans un truc bancal. Rien ne l’interdit et nous sommes libres de vivre ce que l’on veut sans jugement. Et cela n’empêche en rien de, en parallèle, commencer à s'interroger sur ce qui nous ferait du bien pour commencer à s’estimer et à laisser entrer notre propre amour dans nos cœurs.
Je précise ici que je n'écris qu'un point de vue personnel sur la question des relations, que je ne prétends détenir aucune vérité et j'invite chacun à se faire sa propre opinion sans jugement.
Article écrit en 3 parties
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